
Un enfant qui n’explore pas, ne s’aventure jamais et ne se fait jamais mal ? Impossible ! Après quelques frayeurs de maman, j’ai décidé qu’il me fallait une trousse de secours pour mon petit bonhomme. Je ne vous parle pas de la trousse de secours toute prête qu’on trouve en pharmacie et qui pèse 2 kilos. Non, il me fallait une trousse de secours adaptée aux besoins de notre famille. Petit bonhomme est toujours en voyage ou en vadrouille avec nous, donc il nous fallait quelque chose de pratique et de léger que l’on puisse toujours avoir à portée de main. J’ai donc crée une trousse de secours sur-mesure qui ne nous quitte jamais. La taille de la trousse doit faire la taille d’une petite trousse à maquillage. Pour être plus claire, elle doit facilement rentrer dans votre sac à main.
Tout ce qu’elle contient doit forcément être en format mini ou format voyage. Certes c’est un peu plus cher qu’un format basique mais en même temps les produits dureront longtemps (on ne se blesse pas tous les jours heureusement !). Dans ma trousse de secours, on trouve quoi ?
-
De quoi désinfecter : un désinfectant pour enfant (celui qui ne pique pas), des compresses stériles (en sachet individuel) et des pansements
-
De quoi soigner un choc ou un mauvais coup : de l’Arnica en crème ou gel et de l’Arnica en granules
-
De quoi faire une retouche protection solaire : une crème solaire indice 30 ou 50 en petit tube corps et visage
-
De quoi consoler : un paquet de mouchoirs et un petit sachet de bonbons
Et bizarrement vous verrez qu’avec une trousse de secours, vous partirez plus tranquille. Ah petite précision, quand on part en voyage, je rajoute toujours dans ma valise une petite trousse de toilette dans laquelle je glisse un thermomètre, du Doliprane enfant en cas de fièvre, de la Biafine en cas de brûlure ou coup de soleil, un tube d’homéopathie Osanit (douleurs de gorge) et pour finir un traitement d’urgence en cas de gastro (prescrit par notre pédiatre). Oui, une trousse de toilette avec les médicaments de base ça évite les grands moments de solitude à l’étranger quand votre enfant est malade et que forcement vous n’avez rien pour le soigner. Et puis quand on est parent c’est toujours quand on est équipé qu’il n’arrive rien. Vous connaissez le dicton « mieux vaut prévenir que guérir ».